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Changement de Politique
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Ceux que nous avons attendus – Anat Bar
Iris London Zolty accueille madame Anat Bar, directrice du département de la petite enfance, et du centre Paot à Tirat HaCarmel. Elle est issue du domaine de la petite enfance, avec une vaste expérience dans le traitement des familles par l'art, à Tirat HaCarmel depuis plus de trente ans. Elle s'est tout d'abord occupé de la formation parentale, cependant, au fil des ans, elle a identifié d'autres écarts entre les études et la pratique sur le terrain, decidant donc de déterminer l'objectif d'inculquer le vaste savoir construit et cumulé dans la réalité de la ville par la mise en place de programmes, la création de collaborations entre organismes. En coopération avec des professionnels et de nombreuses personnes influentes de la ville, elle a entrepris la mise en place d'un centre composé de départements travaillant ensemble pour les enfants et les jeunes enfants, leur apportant des activités, des enrichissements et des traitements de tout type.
Lors de l'interview, elle parle du centre Paot, de la vision intéressante de la relation importante entre les parents et leurs jeunes enfants, ainsi que la petite enfance de façon générale, selon son point de vue.
Ceux que nous avons attendus – Anat Daygi
Dans ce chapitre, nous accueillons Anat Daygi, la mère du défunt David, décédé alors qu’il n’avait que neuf mois. C’est arrivé à la crèche et l’enquête du cas démontre que la puéricultrice était seule pour s’occuper de huit enfants, qu’elle n’avait pas suivi de cours de premiers soins, bien qu’elle eût déclaré le contraire.
Anat fut stupéfaite d’apprendre qu’en Israël, il n’existait presqu’aucun type de surveillance des crèches pour la petite enfance. De ce traumatisme est né, avec d’autres mères, une lutte pour la surveillance des crèches pour les enfants de la naissance et plus.
Dans le programme, elle raconte sa tragédie à Iris London Zolty, sa lutte pour l’augmentation de la surveillance et la prise de responsabilité des institutions publiques, les réussites et ce qu’il reste à réaliser.
Ceux que nous avons attendus : Oren Leibovitch, Moshe Poltork et Avi Mazor
Cette fois-ci, Iris London Zolty acceuille Oren Leibovitch, Moshe Poltork et Avi Mazor pour une conversation sur le pouvoir du dialogue éducatif. Oren Leibovitch a créé avec son épouse Shira le « Gan HaHaverim », au début une petite crèche pour enfants, devenue par la suite une approche éducative complète : approche de dialogue. L’idée de cette approche est simple – donner la possibilité à chacun de parler, les professionnels, l’équipe et les jeunes enfants de la crèche. Le dialogue permet un meilleur apprentissage non seulement au niveau informatif mais également au niveau sentimental et social.
Moshe Poltork, membre du projet « Gan HaHaverim » et Avi Mazor, père d’une fille dans cette crèche, ont également participé à la discussion. Dans un domaine dans lequel il est rare d’entendre la voix d’un père et de trouver des professionnels hommes, il est ici l’occasion d’entendre trois hommes discuter sur l’approche éducative unique et l’éducation des enfants de jeune âge en général.
Ceux que nous avons attendus – Michal Peper
Michal Peper est une femme et mère, remariée, avocate spécialisée dans les comportements de consommation, ayant réalisé une reconversion professionnelle il y a quelques années, devenue conférencière pour des groupes de soutien de parents et enfants présentant des besoins particuliers, pour des parents ayant perdu leurs enfants, des parents faisant face à des changements importants survenus dans leur vie. Son expérience de vie en tant que femme divorcée, ainsi que sa volonté d'en apprendre plus sur le sujet et son expérience dans son travail, l'ont mené à réaliser que le processus de divorce blesse souvent les enfants de par ce que les parents vivent.
Avec plusieurs partenaires, Michal a mis en place d'initiative "Les enfants avant tout" sous l'association "Topaz", tentant d'aider les enfants de familles normatives, non signalé auprès des autorités sociales, dont les parents ont décidé de divorcer. Lors de l'interview avec Iris London Zolty, elle raconte son initiative, ses activités et ses objectifs.
Ceux que nous avons attendus – Roy Melamed
Nous accueillons cette fois-ci Roy Melamed, directeur de L'UNICEF en Israël, agence locale de l'organisation UNICEF mondiale. L'UNICEF est un organisme créé par l'ONU après la deuxième guerre mondiale afin d'aider les enfants à travers le monde. Entre autres, aider l'organisation au début, à intégrer les enfants survivants de la Shoah dans les camps à Chypre, la création de Tipot Halav (dispensaires pour nouveau-nés) et stabiliser le système de santé pour les enfants dans le jeune état d'Israël.
C'est avec la même vision qu'agit de nos jours l'organisme. Roy raconte lors de l'interview tenue avec Iris London Zolty, les diverses activités que l'UNICEF Israël réalise pour les enfants de jeune âge. Ainsi, par exemple, des sujets tels que l'intégration de la charte internationale des droits de l'enfants en Israël, l'utilisation du savoir accumulé dans les différentes agences de l'UNICEF dans d'autres pays, et plus généralement, l'amélioration des services octroyés en Israël aux enfants en général et pour la petite enfance en particulier.
Ceux que nous avons attendus – Ronit (Filo) Filosof
Ronit (Filo) Filosof est puéricultrice dans la crèche "Gan Shalom", ouvert il y a plus de trente ans, et représente depuis une véritable aspiration pour les autres crèches. Ces crèches agissent selon une approche pédagogique unique inspirée de l'approche éducative de Janusz Korczak, et de la ville de Reggio Emilia en Italie. Selon ces approches, les relations à la crèche sont mutuelles et communautaires, et non comme une relation service et client.
Lors de la conversation avec Iris London Zolty, Filosof explique l'approche éducative de la crèche, la communauté particulière qui s'est créée et qui augmente avec le temps, ainsi que la vision de son monde sur l'éducation de la petite enfance en général.
Ceux que nous avons attendus – Liat Galili-Perl
C'est tout à fait par hasard que l'avocate Liat Galili-Perl a pris l'initiative du projet "Batouah baGan Sheli" ("En sécurité dans ma crèche"), sans expérience dans le domaine de la petite enfance. Elle est avocate spécialisée dans le High-Tech et en particulier dans le domaine des brevets, une nuit, elle a vu une loi de supervision des crèches pour la petite enfance, et s'est rendu compte qu'aucune réponse n'était apportée au problème de violence dans les crèches. Elle a publié une publication sur Facebook avec une idée simple : permettre aux parents des enfants de la crèche de visiter de temps à autres les autres crèches afin d'observer les enfants. Cette publication a engendré des centaines de "j'aime" et de partages et l'initiative "En sécurité dans ma crèche" est née.
Dans l'interview avec Iris London Zolty, l'avocate Galili-Perl raconte l'initiative mise en place suite à cette idée, qui après seulement trois mois, avait déjà enrôlé des centaines de bénévoles à travers le pays.
Ceux que nous avons attendus – Yulia Ben Moshe
Yulia Ben Moshe, directrice de l'association "Kol Hazhouyot", aide les parents d'enfants présentant des besoins particuliers à connaitre, se retrouver et utiliser les droits qui leur reviennent en vertu de la loi. Dans l'interview "Ceux que nous avons attendus", elle raconte à Iris London Zolty les raisons qui l'ont poussée à entrer dans ce domaine, étant mère d'un enfant né avec une maladie génétique rare, la lutte pour le sauver, l'aide qu'elle a reçue.
En outre Yulia parle de l'association qu'elle dirige "Kol Hazhouyot", ses efforts pour atteindre chaque parent et leur apporter les informations nécessaires pour réaliser leurs droits, la lutte quotidienne pour l'accessibilité et l'importance de l'intégration au sein de la société des enfants présentant des besoins particuliers.
Ceux que nous avons attendus – Moshe Simblista
L’association Nirim agit pour les adolescents en détresse selon un modèle unique basé sur deux projets principaux : un village pour adolescents Nirim, situé en Galilée et agissant comme mouvement de jeunesse, et le deuxième, « Nirim BashHouna » (« Nirim dans le quartier »), agissant au sein des municipalités à travers le pays. Les deux projets séparés et conjoints sont destinés aux adolescents en détresse, dont l’écart entre le potentiel et la réalisation de ce potentiel est important, y compris les adolescents avec problèmes comportementaux, difficultés d’intégration dans la société, difficultés d’intégration etc.
Lors de l’interview, le directeur du village d’adolescents Nirim, Moshe Simblista parle des activités de l’association. Il décrit le modèle unique dans lequel il agit, tire son aspiration des approches éducatives et des traitements existants, et les allient afin de composer un modèle sans pareil en Israël voire même dans le monde.
Ceux que nous avons attendus – Dorit Nitay Neeman
Dans la première interview de « Ceux que nous avons attendus », Iris London Zolty accueille Dorit Nitay Neeman, productrice et directrice du théâtre « Karov » fondé par son père, l’acteur Niko Nitay. En tant que directrice du théâtre, elle continue le chemin tracé par son père, son but n’est pas uniquement de produire des pièces de théâtre, mais également de créer un art de qualité accessible à toute la population, et permettre l’accès à la culture pour créer un changement.
Lors de l’interview, elles parlent du théâtre situé à la Nouvelle Gare Centrale de Tel-Aviv dans lequel des pièces destinées aux amateurs sont jouées, le public est exposé à l’art pour la première fois. Nitay Neeman parle également des activités supplémentaires du théâtre, comme le projet « Karov la lev » (« proche du cœur ») intégrant des adolescentes en détresse, leur donnant accès à l’art de la scène et les renforçant par le biais de l’interprétation.
Ceux que nous avons attendus – Udi Gilbert association Darane (Maison Roy)
Udi Gilbert est entré dans le monde de l’éducation après une longue carrière dans le marché des finances. Après avoir atteint le sommet dans son domaine, il a commencé à prendre sous sa coupe un jeune d’une pension, apprenant ainsi le système par le biais du point de vue de l’adolescent, et comprendre les frustrations et les problèmes que les jeunes pensionnaires vivent, en particulier les adolescents et les adolescentes en détresse. Par la suite, il s’est reconverti comme enseignant en mathématiques, enseignant dans des pensions pour jeunes en détresse.
Avec Tomer Bouhadana, Gilbert a fondé l’association Darane dans le but d’augmenter les chances de réhabilitation et d’intégration des adolescents en détresse. En 2015, la pension « Beit Roy » a été créé sous l’association, les adolescents vivent et reçoivent un soutien individuel et une attention particulière. Lors de l’interview avec Iris London Zolty, il parle de l’association, la pension et sa vision du monde éducatif.
Ceux que nous avons attendus – Moshik Wolf, la préparation avant l’armée pour les jeunes en détresse « Asher Ruah Bo »
Moshk Wolf est l’invité du jour, il a mis en place et il gère une préparation à l’armée nommée « Asher Ruah Bo », dont l’objectif est de changer les vies des jeunes des périphéries du point de vue social et économique en Israël. La préparation accorde aux jeunes une réponse sociale, de contenu, et agit pour intégrer des valeurs, un engagement, une signification et une compréhension de leurs capacités à réussir. Parmi les participants à la préparation, il est possible de compter un jeune ayant abandonné les études, un jeune se trouvant en procès et des jeunes avec casiers judiciaires.
Lors de l’interview avec Iris London Zolty, Moshik parle de sa vision du monde, d’où il vient, Moshik est fils d’un père survivant de la Shoah, officier lors de la guerre du Liban, et sa vision est de donner aux jeunes en détresse l’opportunité dont ils ont besoin.
Ceux que nous avons attendus – Yossileh Dror, projet Mifrassim (voiles)
Yossileh Dror est un homme de la mer. Il navigue depuis qu’il est enfant, instructeur de voile et de sport maritime extrême, au fil des années d’expérience entre les vagues, il a compris à quel point la l’influence de la mer peut être positive. Avec plusieurs partenaires, il a été à l’initiative du projet « Mifrassim » (« voiles ») agissant sous le chapeau de l’association « Topaz ».
Lors de l’interview avec Iris London Zolty, Yossileh raconte son amour de la mer et ses aspirations, faire venir en Israël des bateaux avec lesquels il est possible de réaliser des voyages par le biais de processus de groupe sur la mer pour les jeunes en détresse, des groupes de personnes ayant subit des traumatismes physiques et mentaux.
Ceux que nous avons attendus – Miki Dahav, association Ruah Israelit (« L’esprit israélien)
Miki Dahav était architecte, travaillant dans le monde entier, apportant à chaque projet un angle différent du judaisme, des activités sociales et d’intégration de familles israéliennes dans les communautés à l’étranger. Après s’être installé en Israël avec sa famille, Dahav a décidé de commencer une nouvelle carrière professionnelle s’adressant au secteur tertiaire.
Lors de l’interview avec Iris London Zolty, Dahav raconte sa vie, sa vision du monde et l’organisme à la tête duquel elle siège « Ruah Israelit », organisme sous le chapeau de l’agence juive. Grace à cet organisme, selon ses dires, elle a rencontré le bel Israël : de nombreux bénévoles agissant pour impliquer le public israélien dans l’action sociale dans une variété de domaines, par bénévolat actif, partage de savoir ou dons.
Ceux que nous avons attendus – Yaron Brown, Yeladim Besikouy (enfants et la chance)
Yaron Brown, directeur de l’association « Yeladim Besikouy » est le type d’invité « que tout le monde attend ». Il vient du secteur tertiaire, après une carrière variée dans divers domaines. Il a entamé des études de relations internationales, une carrière comme gardien de but de Maccabi Haïfa et depuis plus de vingt ans, travaille dans le monde des affaires et de la publicité. Directeur adjoint du marketing et des ventes du Globes, il mène le journal avec responsabilité, il est l’un des leaders de son domaine en Israël, et entre autres, a travaillé avec de nombreux étudiants et adolescents présentant des handicaps.
Lors de l’interview, Brown parle du programme, du chemin qu’il a traversé pour arriver à Yeladim Besikouy, des diverses activités de l’association agissant pour les enfants en pension et les enfants sans soutien familial, ainsi que d’un jeune enfant particulier qu’il a rencontré lors de son travail, et qui est entré dans son cœur, devenu par la suite sa famille.
Ceux que nous avons attendus – Avner Dafni, Association Rakefet
Avner Dafni vient du High Tech, pour arriver à l’organisation des jeunes gays Igi, au départ comme formateur puis comme directeur. En parallèle, il a rencontré une personne présentant une anxiété sociale, c’est alors qu’il a décidé qu’il n’y avait aucune raison que les adolescents subissent ce type d’anxiété, sans avoir de réponse adaptée. De son expérience, les jeunes souffrent d’anxiété sociale, évite le contact avec les autres, et la situation ne va qu’en empirant, jusqu’à l’âge de 15-16 ans, ce qui rend difficile des actions simples comme monter dans un autobus, ou aller acheter une glace.
Dafni siège actuellement à la tête de l’association Rakefet, une organisation aidant les jeunes introvertis et timides à faire face à leur anxiété sociale. Lors de l’interview avec Iris London Zolty, il parle de lui, de la création de l’association et des diverses activités proposées par les agences à travers le pays pour des centaines d’adolescents.
Ceux que nous avons attendus – Shirit Kasher, Ratsei Hasimtaot « coureurs dans les impasses »
Shirit Kasher aime la course et court souvent seule. Ayant un jour assisté à une compétition, elle s’est demandé pourquoi la plupart des participants étaient des hommes et pourquoi si peu de femmes couraient de façon professionnelle. Elle a donc décidé de tenter d’organiser un groupe de femmes permanent. Lors de l’interview avec Iris London Zolty, elle raconte le processus, la réussite impressionnante et le fondement de l’association d’athlétisme « Ratsei Hasimtaot ».
Actuellement, l’association à la tête de laquelle se trouve Shirit, agit pour changer la réalité de la vie des adolescents et adolescentes issus de couches sociaux économiques faibles en leur accordant un encadrement sportif social les encourageant à devenir de meilleurs étudiants, des leader sociaux et des athlètes professionnels.
Ceux que nous avons attendus – Assaf Weiss, association Ma’agalim
Assaf Weiss est fondateur et directeur de l’association « Ma’agalim », un mouvement traitant de la promotion individuelle et de l’apport de valeur dans la société israélienne, principalement dans la périphérie géographique et sociale. Au fil des ans, l’association a aidé des milliers de jeunes à prendre une responsabilité individuelle et sociale, et approfondit leur identité juive, connaître l’importance d’un service important et renforcer les moyens de confrontation avec les défis de la vie.
Lors de l’interview avec Iris London Zolty, Weiss parle de sa vision du monde, de l’association Ma’agalim, les moyens fascinants par lesquels elle prépare les jeunes à faire face aux défis de la vie, les challenges que l’association a traversés et ceux qui lui reste encore à vaincre.
Ceux que nous avons attendus – Mali Danino, directrice de l’association Nitsan
L’association Nitsan a été créé en 1964, elle est activée par des parents et des bénévoles dans le but de localiser, diagnostiquer et traiter des enfants, jeunes et plus adultes présentant des difficultés d’apprentissage, des troubles de l’attention, des difficultés d’intégration et des difficultés d’agissement. En parallèle, l’association apporte un soutien et une formation aux parents faisant face aux difficultés d’éduquer des enfants particuliers.
Lors de l’interview avec Iris London Zolty, Mali Danino, siégeant à la tête de l’association, parle de son histoire, le chemin qu’elle a traversé jusqu’à aujourd’hui et les parents qu’elle a rencontrés. En outre, elle raconte son parcours professionnel, depuis la licence en science comportementale et psychologie, son travail comme conseillère en éducation jusqu’à poste qu’elle occupe depuis plus de 15 ans, directrice de l’association Nitsan.
Ceux que nous avons attendus – Lilo Tsarfati, et Alem Ibrahim, du centre israélien de tennis
Le centre israélien de tennis a été créé pour les amateurs de tennis, considérant le sport comme une plateforme de réussite pour les jeunes. Actuellement, il compte 14 centres de tennis en Israël, particulièrement en périphérie et dans les quartiers en détresse. Outre l’apprentissage du tennis, les centres gèrent des activités variées pour les enfants, de la petite enfance aux adolescents et leur accordent des outils importants qui seront utilisés par la suite.
Lors de l’interview avec Iris London Zolty, sont arrivés Alem Ibrahim, directeur du centre de tennis du village Sagior et Lilo Tsarfati, gérant les régions du centre et du nord du centre de tennis. Les deux ont raconter leur vie et leur approche selon laquelle il est possible d’apporter à tout enfant l’opportunité d’apprendre le jeu de la vie par le tennis.
Ceux que nous avons attendus – Gina Elbaz, association « Hahelek Sheli Ba Puzzle »
Gina Elbaz était une adolescente timide, qui s’est retrouvée, lors de son service militaire, dans un camp de vacance de l’Agence Juive à l’étranger, c’est là qu’elle a découvert ce qu’étaient des besoins particuliers, elle a immédiatement senti qu’il s’agissait là de son destin. Rentrée en Israël, elle a compris son désir de lier les jeunes en détresse aux jeunes présentant des besoins particuliers. L’année suivante, elle est partie à nouveau dans un camp de vacance, amenant avec elle cette fois-ci six jeunes en détresse de Ramle. Comme elle le raconte à Iris London Zolty, c’était tout simplement magique.
Cette réussite a mené Elbaz, avec son amie Shaked Carp, à fonder l’association « Hahelek Sheki Ba Puzzle », alliant des enfants et jeunes en détresse avec des enfants et des jeunes issus de l’éducation spéciale et leur donnant la possibilité de connaître, faire face aux limites et handicaps, s’examiner et s’épanouir.
Ceux que nous avons attendus – Tal Valentin, mouvement Dror Israël
Tal Valentin a grandi et évolué dans le mouvement de jeunesse Haoved Ve Halomed. Une fois libéré de l’armée, il a rejoint Dror Israël, un mouvement pour les adultes, avec un besoin, une opportunité et une volonté individuelle, il agit dans les maisons des jeunes du quartier Hadar de Haïfa. La maison des jeunes est en réalité un centre destiné aux enfants de CM1 à la 6ème, dans lequel se rendent les enfants pour assister à diverses activités transmises par des étudiants bénévoles.
Lors de l’interview avec Iris London Zolty, Tal parle du chemin parcouru dans le mouvement de jeunesse Haoved Ve Halomed, son désir de travailler avec des enfants et son aspiration à annuler la hiérarchie existante dans la société envers les enfants ; hiérarchie rendant difficile de les écouter et prendre leurs opinions en considération. Il raconte entre outre les activités de la maison des jeunes et la collaboration avec la mairie de Haïfa.
Ceux que nous avons attendus – Miki Hayat et Ravital Shaltiel, association Haridim leketsev
Miki Hayat est dans la Capoeira depuis plus de 20 ans, et instructeur de Capoeira depuis une dizaine d’années. Ravital Shaltiel est professeur de fitness depuis environ 2 ans. Les deux sont issus du monde orthodoxe dans lequel le sport n’est pas particulièrement reconnu, mais l’association qu’ils représentent « Haridim Leketsev » a été créée afin de changer cette situation. L’association agit pour la promotion du sport à travers toutes les couches des orthodoxes, des jeunes garçons et des filles jusqu’aux hommes et femmes.
Lors de l’interview avec Iris London Zolty, Miki et Ravital parlent de leur vie, leur lien avec le sport et les activités de l’association pour le développement du sport chez les orthodoxes. Ils décrivent la façon dont ils ont rendu le sport accessible à cette communauté, racontant les projets sociaux particuliers pour le renforcement des jeunes en détresse et l’insertion de valeurs de mode de vie sain tout en respectant les règles de la Halacha.
Ceux que nous avons attendus – Yuvi Tsuma-Katz, association Haverim Bateva
Iris London Zolty invite Yuvi Tsuma-Katz, une des fondatrices de l’association « Haverim Bateva – promotion communautaire », créée en 2005 par des israéliens issus d’Ethiopie. Entre autres, l’association aide les jeunes en détresse pour une éducation informelle, à développer une identité indépendante, et réaliser leur potentiel, reliant les couches sociales en créant une atmosphère de tolérance et renforçant le lien entre les résidents d’Israël avec leur pays.
L’association travaille principalement auprès de la communauté des personnes venues d’Ethiopie en Israël, mais également auprès d’autres communautés. Lors de l’interview, Yuvi raconte les raisons qui l’ont poussée à créer l’association, ses activités et les challenges auxquels elle fait face. Trois de ses enfants sont également invités pour raconter les réalisations de leur mère.
Ceux que nous avons attendus – Ran Shimoni, projet Yaldey Hamusika - enfants de la musique
Ran Shimoni est musicien, ayant réussi à trouver son chemin alliant la musique et l’action sociale. Il parle à Iris London Zolty du projet « Yaldey Hamusika ». L’objectif du projet est de localiser les enfants et adolescents ayant un talent musical et une passion pour la musique, issus de familles qui ne sont pas en mesure de financier des cours de musique, des instruments de musique.
Lors de l’interview avec Iris London Zolty, il parle de son amour pour la musique, les événements clés qui l’ont mené à créer le projet et le soutien qu’il reçoit dans l’industrie de la musique en Israël. Le projet a jusqu’à présent aidé des dizaines d’enfants issus de diverses couches, des Juifs, des Arabes, des nouveaux immigrants et des enfants de travailleurs étrangers.
Ceux que nous avons attendus – Oded Soroka, fondation Ahi
La fondation Ahi a été créé pour apporter un foyer aux adolescents et adolescentes en détresse ainsi qu’aux soldats isolés. La fondation apporte un soutien, particulièrement dans la formation et l’emploi. La fondation propose une variété d’activités, de formations et de séminaires, aide à créer un lien entre les jeunes en détresse et les soldats isolés et les familles, mentor et des organismes professionnels de haut niveau en Israël et à l’étranger, intéressés à engager des personnes de qualité à long terme.
Oded Soroka raconte à Iris London Zolty la vision d’Ahi, le parcours fascinant jusqu’à la création de la fondation et la création du village Ahi d’implication mutuelle. Le village accorde des outils aux adolescents avant le service militaire, un soutien aux soldats isolés durant le service et la formation à l’emploi pour les soldats isolés libérés.
Ceux que nous avons attendus – Vered Nitsani Coziokro et Lital Vasserman, lycée « Musot »
Vered Nitsani Coziokro et LItal Vasserman se sont connues en travaillant ensemble dans l’association Elem. Connaissant la situation des jeunes en détresse, elles ont compris qu’il y avait un besoin réel de réponse à long terme, et l’apport d’une opportunité égale à ceux qui ont perdu leur chemin dans divers encadrements. Après deux ans de développement de l’idée, elles ont créé le lycée d’arts « Musot » à Jaffa.
Le lycée a ouvert ses portes en 2005, accueillant des jeunes ayant abandonné les études pour diverses raisons. Actuellement « musot » est un lieu dans lequel les adolescents et adolescentes de la seconde à la terminale reçoivent la possibilité de créer, d’étudier et d’allier les études d’art aux études du baccalauréat pour exprimer leurs capacités individuelles et créatives. Lors de l’interview avec Iris London Zolty, elles parlent d’elles et de l’école unique qu’elles ont créée.
Ceux que nous avons attendus – Dr. Michal Komem et Roni Eyal Lubling, centre Rotem et Ecole académique Sapir
Le centre Rotem agit depuis plus de dix ans au sein de l’école académique Sapir, destiné aux adolescentes et jeunes filles ayant fait face à un moment donné à des situations de détresse et de danger, ou ayant abandonné l’environnement social pour diverses raisons. L’objectif du centre est d’aider ces mêmes femmes en leur donnant l’opportunité d’avancer au niveau individuel, social, des études et de l’emploi. Le centre aspire ainsi à lancer l’expérience de vie des jeunes filles et d’en faire une ressource tout en encourageant et menant leur communauté, pour pouvoir devenir une inspiration pour les autres jeunes filles ayant vécu des événements semblables.
Lors de l’interview avec Iris London Zolty, le Dr. Michal Komem et Roni Eyal Lubling sont deux femmes travaillant à la création du centre Rotem, et racontant leur parcours.
Ceux que nous avons attendus – Naomi Faran, chorale Moran
Naomi Faran, professeur de musique de longue date avait un rêve : créer une chorale pour enfants professionnelle, qui chanterait dans le monde entier comme les chorales européennes et non uniquement lors des cérémonies du jour de la commémoration. Elle y a ajouté une vision supplémentaire : allier des enfants séparés de la société, y compris des enfants avec handicaps et des jeunes en détresse, à l’aide de la musique, développant ainsi une excellence musicale comme levier pour rapprocher les populations.
Actuellement, depuis plus de trente ans, la chorale Moran compte 7 ensembles, divisés selon l’âge et l’expérience professionnelle. Lors de l’interview avec Iris London Zolty, Moran raconte l’histoire de la chorale, décrit les avantages du chant en chorale pour les enfants et précise : celui qui chante est heureux.
Ceux que nous avons attendus – Shir Gur
Shir Gur est active dans le domaine social depuis plus de 25 ans. Après avoir travaillé dans les ministères et dans plusieurs associations dans le secteur tertiaire, elle agit actuellement pour apporter un changement social en collaboration active et des professionnels. Selon elle, son expérience professionnelle lui permet de comprendre que toute personne capable d’exploiter le système public est capable d’avoir des ressources pour ses besoins et pour ses proches, cependant, il existe en Israël une population qui n’a pas les connaissances nécessaires pour atteindre ces sources qui lui sont essentielles.
Comme elle l’explique lors de l’interview avec Iris London Zolty, Shir aspire à transférer aux populations nécessiteuses le savoir manquant concernant la lutte pour leurs droits et l’acquisition de droits supplémentaires. En outre, elle parle de ses activités, ses réussites, les challenges auxquels elle doit encore faire face.
Ceux que nous avons attendus – Varda Druker, projet Amets Lohem
Le projet « Amets Lohem » est un projet d’engagement social de l’unité pour les soldats (organisme lié avec l’association pour les soldats et le fonds Libi). Son objectif est de renforcer les combattants des unités combattantes de Tsahal en les liant à un secteur professionnel. En d’autres termes, une société d’affaires capable d’adopter une unité de combattants et lui donner des sommes d’argent. Selon Varda Druker, gérant le projet depuis environ 12 ans, le plus beau de ce projet ne sont pas les dons en argent mais les liens exceptionnels créés entre les employés et les directeurs des sociétés, et les soldats et les officiers des unités militaires.
Lors de l’interview avec Iris London Zolty, Varda parle du projet « Amets Lohem », les circonstances qui l’ont menée à cette étape et de belles histoires racontant le lien chaleureux entre les sociétés et les combattants.